[ABALECON] Suite de son Eminence Carlà Szentàroszan
Posté : 13 avr. 2021, 04:05
A l'instar de son homologue livadien, et en attendant qu'une ambassade soit ouverte, Carlà Szentàroszan fut accueilli au sein du Palais Royal où une suite lui fut réservée. Donnant elle aussi les jardins, la pièce qui ressemblait à un petit appartement confortable, constituait une parenthèse agréable au quotidien. Si le Palais Royal pouvait surprendre par sa sobriété, ce n'était pas un hasard. Il était de notoriété publique que le Roi et la Reine n'aimaient pas le luxe. Certains qualifiaient cette position d'austérité, et pourtant, sans avoir d'objets au coût exorbitant, l'endroit rayonnait de chaleur et de confort. C'était ici, que la diplomate abaleconienne allait pouvoir se reposer, passer ses communications avec son pays. Elle disposait de tous les avantages de l'hospitalité d'Eiraen : un service prévenant et attentif, une ligne téléphonique et un mobilier pratique.
Le balcon attenant offrait un bol d'air agréable. D'ailleurs, ici, où que l'on respire, l'atmosphère était déchargée de toute pollution. Carlà Szentàroszan fut informée, dès son arrivée, par un membre du personnel, des éventuelles coupures électriques qui pouvaient survenir à tout instant. On lui indiqua, en outre, qu'en cas de besoin il suffisait qu'elle fasse appel à l'un d'eux. Avec son visa diplomatique, elle pouvait se balader où elle l'entendait, hormis quelques endroits particuliers, privés. Une occasion, si elle le voulait, de découvrir la ville, voire même d'autres parties du pays. On lui conseilla tout de même de prendre soin d'elle, car à Tealys comme partout ailleurs, la situation sanitaire était compliquée. Il n'était pas garanti qu'en cas de maladie, Carlà bénéficie de soins, en raison de la saturation de l'hôpital universitaire.
On lui laissa le temps de s'installer et de se manifester lorsqu'elle souhaiterait rencontrer le Roi Rodan. La coutume locale, ici, voulait que l'on demande audience à Sa Majesté, afin d'engager des discussions. Mais le Roi d'Eiraen était connu pour enfreindre parfois les règles protocolaires, si nécessaire. Il était donc probable que si l'initiative ne vienne pas d'elle, il lui propose une audience de son propre chef, dans les jours à venir.
Le balcon attenant offrait un bol d'air agréable. D'ailleurs, ici, où que l'on respire, l'atmosphère était déchargée de toute pollution. Carlà Szentàroszan fut informée, dès son arrivée, par un membre du personnel, des éventuelles coupures électriques qui pouvaient survenir à tout instant. On lui indiqua, en outre, qu'en cas de besoin il suffisait qu'elle fasse appel à l'un d'eux. Avec son visa diplomatique, elle pouvait se balader où elle l'entendait, hormis quelques endroits particuliers, privés. Une occasion, si elle le voulait, de découvrir la ville, voire même d'autres parties du pays. On lui conseilla tout de même de prendre soin d'elle, car à Tealys comme partout ailleurs, la situation sanitaire était compliquée. Il n'était pas garanti qu'en cas de maladie, Carlà bénéficie de soins, en raison de la saturation de l'hôpital universitaire.
On lui laissa le temps de s'installer et de se manifester lorsqu'elle souhaiterait rencontrer le Roi Rodan. La coutume locale, ici, voulait que l'on demande audience à Sa Majesté, afin d'engager des discussions. Mais le Roi d'Eiraen était connu pour enfreindre parfois les règles protocolaires, si nécessaire. Il était donc probable que si l'initiative ne vienne pas d'elle, il lui propose une audience de son propre chef, dans les jours à venir.